Les automobilistes de Beyrouth s’arrêtent à un comptoir de service au volant, non pas pour de la restauration rapide, mais pour échanger des bouteilles et des cartons vides contre de l’argent, une nouveauté dans un pays longtemps en proie à la crise des déchets.
Les automobilistes de Beyrouth s’arrêtent à un comptoir de service au volant, non pas pour de la restauration rapide, mais pour échanger des bouteilles et des cartons vides contre de l’argent, une nouveauté dans un pays longtemps en proie à la crise des déchets.
Les décharges pourrissantes débordent souvent dans le Liban en crise, les déchets sont brûlés illégalement dans des décharges informelles et les ordures flottent au large des côtes de la mer Méditerranée.
Le recyclage géré par l’État a été largement abandonné dans un pays aux prises avec un effondrement économique de trois ans.