Adolescent condamné à tort à la réclusion à perpétuité, l’artiste Halim Ali Flowers, qui a collaboré à un documentaire de Kim Kardashian sur le système carcéral américain, expose ses peintures à Paris et raconte à l’AFP sa renaissance par l’art.
Adolescent condamné à tort à la réclusion à perpétuité, l’artiste Halim Ali Flowers, qui a collaboré à un documentaire de Kim Kardashian sur le système carcéral américain, expose ses peintures à Paris et raconte à l’AFP sa renaissance par l’art.
“Je ne fume pas, je ne bois pas, je ne fais pas la fête, je ne fais que de l’art, c’est ma drogue, c’est ma vie”, confie cet autodidacte américain de 40 ans issu du noir ghettos de Washington.
Quinze de ses toiles sont exposées jusqu’à dimanche à la galerie Champop, dans le centre de Paris. Colorés et chargés de symboles, ils mettent en lumière les marginalisés, les prisonniers, les sans-abri ou les malades mentaux et s’inspirent de ceux de Basquiat, qui inspira sa passion pour la peinture.